Être chef·fe, c’est être seul·e !


Une affirmation que j’entends souvent chez les managers, ou les dirigeant·es que j’accompagne. Et qui résonne chaque fois comme une FATALITÉ !
C’est VRAI.
Moi aussi, j’ai ressenti de grands moments de solitude en tant que dirigeante :
🔸 Face à des décisions stratégiques délicates à prendre
🔸 Face à des situations financières fragiles
🔸 Face à des comportements agressifs ou à des incompréhensions
🔸 Face à mes limites physiques et intellectuelles.
 
✅ Pas facile de trouver des alliés quand on tient la barre !
✅ Pas facile d’exprimer son épuisement quand tout le monde compte sur vous.
✅ Pas facile de partager des décisions radicales avec ses équipes.
 
ET POURTANT…
 
La solitude du chef·fe a ses côtés lumineux :
🔹Être seul·e, c’est être celui·celle qui a le COURAGE de trancher.
🔹Être seul·e, c’est prendre du RECUL et le temps de la réflexion.
🔹Être seul·e, c’est assumer d’avoir une VISION et avoir le plaisir de la partager.
 
Et ses voies pour en sortir :
👉 Rejoindre des réseaux professionnels : réseaux métiers, de dirigeants, territoriaux, réseaux de femmes…
👉 Se faire accompagner au sein d’espaces confidentiels et confiants : coaching, mentorat.
👉 Appartenir à des groupes de paroles ou de codéveloppement.
👉 Avoir un équilibre de vie et des soutiens amicaux et familiaux.
 
Être authentique, clair·e, centré·e sur ses valeurs permet aussi d’avoir des allié·es inattendus !
 
Et vous comment sortez-vous de votre solitude de chef·fe ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *